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En Ménélas, nous avons été impressionnés par la concentration et l’absolue justesse d’intonation du jeune ténor Michael Hendrick, dans une tessiture poutant inhumaine. by David Shengold Opéra Magazine (France)

Le public a salué par une salve d’applaudissements nourris le travail vocal et dramatique de Michael Hendrick dont l’émission puissante et généreuse a été un gage de vitalité du pauvre veuf mais dont le timbre quelque peu obscur a su exprimer cependant la détresse du personnage. Die tote Stadt – La ville morte d’Erich Wolfgang

Le Paul de Michael Hendrick inquiète quelque peu au début, en difficulté dans l’aigu. Puis la voix se libère, retrouve sa vaillance et, surtout, démontre son étonnante résistance pour assumer jusqu’au bout et sans entracte la terrible écriture du rôle. Sa relative gaucherie sied parfaitement à ce personnage névrosé, retiré du monde et qui ne vit que

as Paul in Die Tote Stadt, Opéra National de Lorraine à Nancy Two vocal performances, if not feats of strength, are what is required by Korngold’s interpreters in Die tote Stadt, and the first challenge that of the Opéra National de Lorraine, beyond expectations. Without a Heldentenor there is no salvation for Paul, unless we sacrifice

Paul in La Ville Morte Opéra National de Lorraine à Nancy Deux performances vocales, pour ne pas dire des tours de force, voilà ce qu’exige Korngold des interprètes de la Ville morte, et le premier défi que relève l’Opéra national de Lorraine, au-delà des espérances. Hors d’un Heldentenor, point de salut pour Paul, à moins d’y

Très présent, enfin conduite intelligente de la voix dans le rôle principal, Paul montré ici idéalement maladif, de Michael Hendrick qui ne s’économise guère dans la partition tendue, copieuse et exigeante de Korngold. S’il est une œuvre du répertoire post-wagnérien viennois à rencontrer encore des difficultés à s’imposer sur nos scènes, c’est bienDie tote Stadt, vue il

Michael Hendrick incarne un Paul fragile et poignant… la vaillance et le timbre sont bien ceux d?un Heldentenor. NancyOpéra national de Lorraine05/09/2010 –   et 12, 14*, 16, 18 mai 2010Erich Wolfgang Korngold : Die tote StadtMichael Hendrick (Paul), Helena Juntunen (Marietta), Thomas Oliemans (Franck), Nadine Weissmann (Brigitta), André Morsch (Fritz), André Post (Victorin, Gaston), Yuree Jang (Juliette),

… un remarquable Bacchus (l’Américain Michael Hendrick.) Mise en scène avec sobriété par Caetano Vilela, nous en avons d’abord retenu la qualité de la distribuition, avec une mention pour d’excellets seconds rôles, tous brésiliens, une Ariadne valeureuse (l’Argentine Virginia Correa Dupuy, remplançant Eliane Coelho) et un remarquable Bacchus (l’Américain Michael Hendrick.) Surtout, nous avons été impressionnés